L’épinard de Yukiko

La semaine, c’est la Saint Valentin ! Fête internationale des amoureux de tout âge. Au japon, c’est le jour de la « crise de foie » pour les garçons populaires (les motteiru) ou ayant de nombreuses soeurs. En effet la saint valentin au Japon se fête par une distribution de chocolat par les filles à tout les garçons qu’elles aiment. Que ce soit des relations de travail (les chocolats dit par obligation morale), la famille (père, frère, cousin, etc) ou son amoureux. Pour fêter cette Saint Valentin 2012, je vous propose de découvrir une « histoire d’amour ». Vous aimez les bandes dessinées plein d’un doux érotisme avec de jolies japonaises dénudées ? Alors découvrez une bande dessinée, destinée à un public adulte, de frédéric boilet dans lequel il raconte son histoire d’amour (et de plus si affinités) avec Yukiko, une jeune japonaise au joli épinard.

Pourquoi un épinard ?

L’origine en serait un étrange jeu de mot sur la prononciation en japonais des mots nombril et épinard. Un problème de prononciation du « h » aspiré que les français habitué au « h » muet maîtrise mal ou pas du tout. Synopsis L’épinard de Yukiko, c’est la rencontre entre Frédéric Boilet, auteur de bande dessinée français résidant à Yokohama, et Yukiko Hashimoto, une jeune Japonaise, un portrait de Yukiko par un homme épris, incapable de dessiner autre chose qu’elle. Yukiko aime quelqu’un d’autre mais en attendant que cette personne revienne, tous deux vont vivre au jour le jour une parenthèse amoureuse. Mon avis Un albums surprenants autant par sa simplicité scénaristique (une histoire d’amour presque insignifiante) que par son réalisme (dessin et texte d’un réalisme quasi télévisuel). Tout se passe comme si l’auteur nous racontait en temps réel la petite aventure qu’il a eue avec Mlle Yukiko Hashimoto. Le lecteur jour donc les voyeurs comme un spectateur de télé réalité.

Mon appréciation

J’ai bien aimé ! Mais ce n’est pas très étonnant vu que j’aimais déjà d’autres œuvres de cet auteur français très japonisants.

Rédigé par : Christophe Bejach

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